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Mes découvertes, mois après mois // Octobre 17″

 

Bonjour mes petits hiboux tout doux ! ♥

Pour ce dernier jeudi du mois, après vous avoir parlé lundi de When Dimple Met Rishi, je vous propose un article sur mes petites découvertes ce mois-ci, ainsi que mes chouchous du mois. Prêt ? C’est partis !
( Cet article m’a été inspiré par l’article de l’adorable Cassandra ! )

Du côté des séries

Possédant depuis maintenant un an un abonnement Netflix (pour le meilleur et pour le pire !), je passe énormément de temps devant mon ordinateur ou ma télé à regarder diverses séries. Et ce mois-ci, parmi les milliers de série dispo sur le géant de la SVOD, voici celles que j’ai rajouté à ma liste sans fin de série : iZombie, Black Mirror et The Big Bang Theory.

iZombie est donc notre nouvelle série sans prise de tête avec l’amoureux, même si j’aimerais qu’on se concentre plus sur Stranger Things que nous n’avons toujours pas finis (et la saison 2 arrive à grand pas !). Mais cela ne m’empêche pas d’apprécier iZombie pour autant. J’aime le principe de la série (suite à une soirée un peu étrange, notre personnage principal, féminin, deviens un zombie, assoiffé de cerveau. Après avoir ingéré un cerveau, elle se retrouve alors avec quelques souvenirs de son propriétaire, ainsi que certains de ses dons, qualités, et/ou défauts), et le déroulement de chaque épisode. Cela reste léger et parfait pour un moment agréable à deux.

Black Mirror, malgré ses courtes saisons, me suit maintenant depuis le début du mois et je n’arrive pas à la finir. Pour la simple et bonne raison qu’il est impossible de la binge watcher comme je pourrais le faire avec une autre série, tellement elle me fait ressentir d’étranges émotions. Un sentiment de malaise me prends durant le visionnage d’un épisode et il me faut un certains temps pour m’en remettre. Certains épisodes sont d’ailleurs assez dur à voir à cause des sujets qu’ils traitent. Rien de violent ou de gore dans Black Mirror, juste un aperçus perturbant de ce que notre monde pourrait devenir avec les nouvelles technologies, en nous montrant tout le côté pervers et mauvais que cela nous apporterais (une mauvaise utilisation d’une sauvegarde de nos souvenirs, des réseaux sociaux trop envahissant où l’image que l’on renvois est plus importante que ce nous sommes, a quel point les réseaux sociaux nous affectent et etc). Et ce qui fait le plus peur, c’est que tout ce que nous montre la série pourrait réellement nous arriver dans un futur plus ou moins proche. A voir absolument ! Chaque épisode étant complètement indépendant et n’ayant aucun lien avec les saisons ou aux autres épisodes, je vous conseille de continuer malgré le premier épisode TRES étrange et de vous faire un avis à la fin de la première saison, qui ne fait que 3 épisodes.

The Big Bang Theory, qui loin d’être une série toute récente, est une série que j’ai longtemps boudé par manque de temps et de motivation devant le nombre incroyable d’épisodes à voir. Mais après avoir abattus enfin Friends et How I Met Your Mother, c’est maintenant à son tour ! Et quel bonheur. Plus de deux saisons d’avalées ce mois-ci et je ne m’en lasse pas. J’aime les références geek du show, à quel point ces quatre garçons me rappelle mes bébés nerds que j’ai avec moi en cours, et à quel point il m’arrive d’être la Penny de mon groupe d’amis.

 

Côté cinéma

Octobre fut pour moi un mois passé remplis de cinéma. C’est rare que j’y aille autant en si peu de temps. Ce mois-ci, j’aurais donc vu Mother!, le film si étrange avec Jennifer Lawrence, Ça avec son Pennywise terrifiant, ainsi que Blade Runner, mais l’ancien, dans le cadre d’UGC Culte le jeudi soir. Et, je vous recommande les trois.

Mother! et son scénario plus qu’étrange, si vous vous y préparez, peut vous faire passer un moment perturbant dans les salles obscures. Mais une fois que l’on lit différentes interprétations tout semble plus clair. J’ai presque eu envie de retourner le voir en salle afin de pouvoir voir les détails qui m’ont échappé. Le film est très propre, avec une image et un son irréprochable et Jennifer Lawrence nous livre une performance exceptionnelle pour ce rôle plus qu’atypique.

Ça, on en entends parler de puis des mois. Voir depuis plus longtemps encore. Le Pennywise est partout en ce doux mois d’octobre et je n’ai pas pu résister à l’envie de découvrir son histoire. Armée de toute ma trouille et du peu de courage que j’ai pu trouver, je me suis rendue en salle accompagnée d’une amie. Nous avons toutes les deux sursautés, eu peur parfois, mais rien d’insurmontable. Le film est remplis de jump scare, et mis à part quelques scène bien flippantes, le tout n’est pas si effrayant que ça. Les personnages sont attachant, l’humour est bien présent, et les enfants volent la vedette au Pennywise. L’esthétique du film est aussi très travaillé, avec une ambiance année 80 romancé que l’on peux retrouver dans Stranger Things.

Blade Runner, celui de 1982, en version Final Cut de 2007 (le film a eu beaucoup de versions différentes durant plusieurs années après sa sortie). Et mon dieu. Quel beau film, une véritable claque venue d’un autre siècle. Malgré ses 35 ans, l’histoire est toujours aussi surprenante. C’était la première fois que je voyais ce film, et le découvrir là, sur un grand écran, en VOSTFR, avec l’expérience d’une salle de cinéma, m’a fait vivre le film différemment je pense que si je l’avais vu sur ma télévision ou mon ordinateur. La qualité du film n’a pas pris une ride malgré les années, c’est toujours aussi beau à voir. Bien plus que certains films de cet époque qui ont eux mal vieillis. On sais, on le sens même, que le film est vieux, de part les technologies utilisés pour les écrans ou le visage si jeune d’Harrison Ford, alors en pleine force de l’âge, mais on finis par oublier ça et s’immerger dans l’histoire. Ce n’est pas un film d’action, c’est lent, l’ambiance noire se pose au fil des scènes et on se retrouve face à un chef d’oeuvre, un film culte. A voir et/ou à revoir absolument. Surtout avec cette version si qui soulève énormément de questions sur les replicants et sur le rôle d’Harrison Ford.

Du côté des musiques

Du côté des musiques, Octobre fut pour moi l’occasion de redécouvrir le groupe Knife Party, un groupe de musique australien d’électronique, en me plongeant dans leur dernier album, Abandon Ship, sortis il y a quelques années déjà. Parmi toutes les chansons de cet album, mes préférées sont  « Give It Up » ainsi que « Micropenis« . Leur album est disponible ici ainsi que sur Apple Music et Spotify. Pour ceux qui voudrais découvrir leur groupe via d’autres chansons, mes préférées sont « Bonfire« , « Internet Friend« , « Zoology » flat Skrillex, ainsi que « Rage Valley« , ma préférée du groupe.

J’ai également découvert le compositeur Peter Gundry ce mois-ci, avec ses musiques très douces. Je ne me lasse pas d’écouter ses différents albums, qui sont parfait pour une musique de fond ou pour se concentrer au travail. Tout en légèreté, en jouant sur des sonorités celtes et new age, ce sont de très bonnes musiques pour les amoureux des ambiances Fantasy et détente. A écouter de toute urgence ! Vous trouverez ici ses différentes composition sous forme de playlist. Voici aussi celle que je préfère parmi ses différentes compositions :

 

 

Jeune femme de 22 ans, en dernière année de master Informatique sur Bordeaux, partageant son quotidien, ses séries, ses lectures et ses pensées.
Young 22 years old lady, in her last year of studying Computer Science, is sharing her everyday life, series, reading and thoughts.
Welcome to her world !

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Chroniques Lecture

When Dimple met Rishi, ma douce romance estivale.

When Dimple Met Rishi
( Quand Dimple rencontre Rishi)
Sandhya Menon
Lecture VO

4 / 5

Dimple Shah has it all figured out. With graduation behind her, she’s more than ready for a break from her family, from Mamma’s inexplicable obsession with her finding the “Ideal Indian Husband.” Ugh. Dimple knows they must respect her principles on some level, though. If they truly believed she needed a husband right now, they wouldn’t have paid for her to attend a summer program for aspiring web developers…right?

Rishi Patel is a hopeless romantic. So when his parents tell him that his future wife will be attending the same summer program as him—wherein he’ll have to woo her—he’s totally on board. Because as silly as it sounds to most people in his life, Rishi wants to be arranged, believes in the power of tradition, stability, and being a part of something much bigger than himself.

The Shahs and Patels didn’t mean to start turning the wheels on this “suggested arrangement” so early in their children’s lives, but when they noticed them both gravitate toward the same summer program, they figured, Why not?

Dimple and Rishi may think they have each other figured out. But when opposites clash, love works hard to prove itself in the most unexpected ways.

When Dimple Met Rishi est, pour moi, ma lecture doudou de l’été. Douce, légère, rempli d’innocence, avec une romance mignonne comme tout, ce livre remplis pour moi tous les critère du livre Young Adult de l’été. Sans aucune prise de tête, avec de l’humour et un sourire toujours au coin des lèvres, on dévore rapidement ses 380 pages. Et pour cause, je l’ai finis en deux jours et demie.

Peut-être que cela est sans doute lié au fait que j’ai mis une éternité à finir Anne Of Green Gables (plus d’un bon gros mois selon GoodReads, et que j’avais besoin de me vider la tête avec une lecture légère et fun), mais cela ne m’a pas empêchée pas de passer un agréable moment en compagnie de Dimple Dash et de Rishi Patel, les deux adorables protagonistes du roman.

When Dimple Met Rishi partait déjà du bon pieds avec moi, en me proposant une romance avec deux héros d’origines indienne (j’aime la diversité dans les personnages !), et le fait que l’on nous présente une jeune fille n’étant pas décrite comme une déesse (ne nous voilons pas la face, dans beaucoup -trop- de romans, les personnages ont des physiques de rêves, ou sont des beautés qui s’ignorent, ce qui, à la longue, deviens assez énervant), et aussi le fait qu’elle code ! Jackpot gagnant pour moi ! Et quel bonheur de voir en plus au fil des pages que le côté geeky de Dimple était complètement assumé et ne tombais pas dans le cliché.

Avec un scénario que l’on pourrait comparer à celui de To All The Boys I’ve Loved Before (de la géniale Jenny Han, que je vous conseille totalement !), When Dimple Met Rishi nous propose quelque chose d’original en se basant sur un énorme quiproquo. Dimple, qui ne supporte plus de vivre selon les rêves de sa mère ( cette dernière ne souhaitant la voir faire des études que dans le but de trouver l’époux idéal indien (The Ideal Indian Husband)), vois en une compétition informatique pour étudiants  l’opportunité d’enfin vivre sa vie comme elle le souhaite. Mais ce qu’elle ne sais pas, c’est que ses parents n’ont accepté qu’elle participe à cette compétition que parce que le fils d’un couple d’amis avec qui ils voudraient la marier y participe également. A peine arrivée sur le campus, elle se fait alors accoster par un charmant Rishi Patel, au courant de la situation (alors qu’elle non), qui l’aborde en l’appelant sa future femme. Complètement apeurée par ce jeune étrange qu’elle ne connais pas, Dimple réagis de façon excessive avant de prendre la fuite. Mais le destin fait que ces deux jeunes adultes se retrouvent dans la même équipe pour le reste de la compétition (6 semaines).

Dès les premières pages, j’étais entièrement conquise par ce livre. Le scénario loufoque, les émotions de Dimple, la douceur de Rishi, ainsi que la plume légère de l’auteure m’ont complètement séduite. Les personnages sont beaux, sincères, et énormément d’émotions se dégagent d’eux. Ce fut pour moi la lecture idéale au moment idéal.

C’est avec un serrement au coeur que j’ai refermé ce livre, qui pendant tout le temps de ma lecture m’a fait énormément de bien, me permettant de me vider la tête et d’apprécier pleinement mes quelques jours de congé au soleil. Le sujet me parlant énormément étant une étudiante en informatique un peu perdu dans un monde masculin, rencontrer Dimple et sa simplicité m’a fait énormément de bien, sans pointer du doigt les nombreux clichés que l’on rencontre souvent quand l’informatique ou le développement est amené dans un scénario (que ce soit au cinéma, sur le petit écran, ou entre les pages d’un roman).

C’est du coup une lecture que je vous recommande fortement si l’anglais ne vous fait pas peur. La plume est très fluide, sans trop de difficultés, ce qui permettra à tout le monde de s’y retrouver par rapport au niveau d’anglais requis.

Jeune femme de 22 ans, en dernière année de master Informatique sur Bordeaux, partageant son quotidien, ses séries, ses lectures et ses pensées.
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Chroniques Lecture

Anne of Green Gables, le classique de la littérature canadienne

Anne of Green Gables
( Anne et la maison aux pignons verts)
Lucy Maud Montgommery
Lecture VO

4 / 5

Née en Nouvelle-Écosse. orpheline à trois mois. Anne est récupérée par une série de familles d’accueil. Malgré la pauvreté, elle parvient à s’évader de sa sombre existence grâce à son imagination débordante. Elle lutte pour rendre les circonstances acceptables. recherche des âmes sœurs et trouve dans les livres une certaine consolation, tout en rêvant de fonder un jour sa propre famille. Curieuse, inventive, amoureuse de la vérité, Anne fait déjà preuve du sens de l’émerveillement et de l’espoir qui la caractériseront sa vie durant. Ce roman relate les événements à la fois tristes et loufoques de la vie de la rouquine à l’esprit débridé avant qu’elle ne se rende chez les Cuthbert, à l’Ile-du-Prince-Edouard…

 

J’ai découvert le petit univers d’Anne Shirley avec la superbe série Netflix Anne With An E (dont je vous parle ici) et ce fut un énorme coup de coeur. Curieuse d’en savoir plus sur ce classique de la littérature Canadienne, j’ai réussis à mettre la main sur une superbe édition en version originale, qui pendant plusieurs jours m’a fait saliver le temps que je finisse Milles Soleils Splendides.

Je ne vais pas vous mentir, ce fut une lecture avec des hauts et des bas, liés au fait que cette dernière ne tombait pas à pic avec mes activités scolaires, mais aussi à cause du fait que j’ai eu du mal à m’imprégner de l’histoire. Je n’ai pas forcément l’habitude de lire des romans de ce genre ou de ce niveau en anglais, j’ai donc eu un long temps d’adaptation. Le vocabulaire est soutenu, riche, et m’a fait découvrir une myriade de nouveaux mots. C’est beau, très beau même, mais on finit parfois par se perdre dans les descriptions de l’auteure. Mais cela n’en reste pas moins une lecture très agréable une fois le temps d’adaptation révolus.

On suit avec plaisir les aventures de la petite Anne Shirley et des Cuthbert, cette adorable famille composée de Marilla et de Matthew ( un frère et une soeur d’un certain âge), qui vont adopter un enfant dans le but que ce dernier aide Matthew à la ferme. Mais suite à un malentendu, ce n’est pas un petit garçon qui les attend sur le quai de la gare, mais une charmante jeune fille rousse à la bouche remplie de grands mots, et la tête remplie de rêves.

Anne est rafraichissante, joyeuse, dynamique, et à travers les quelques 500 pages de ce premier tome, on découvre sa nouvelle vie, ses mésaventures et ses expériences. Elle grandie sous nos yeux, gagne en assurance, et perds petit à petit sa maladresse et son don de toujours faire des bêtises. Elle garde cependant toujours cette tendresse et cette fraicheur qui nous fait sourire.

Avec elle, on va rencontrer ce frère et cette soeur, un peu réticent au début à son arrivée, mais qui apprenne à l’aimer. Mais également Diana, sa meilleure amie, ainsi que tous les autres enfants du village qu’elle retrouve à l’école. On y fait alors la rencontre de Gilbert Blythe, son futur pire ennemie, mais aussi celui qui fera en sorte qu’elle donne le meilleur d’elle même dans tout ce qu’elle fait. Ce Gilbert, je vois en lui une petite graine de Darcy un peu plus moderne mais toujours aussi affectueux. Malgré tout ce qu’il se passe entre lui et Anne, il reste là, à l’admirer et à vouloir son amitié. J’ai hâte de lire les prochains tomes pour voir comment ces deux là vont évoluer.

Les différents personnages que l’on rencontre dans le roman sont très riches je trouve, développés, et apportent à l’histoire un petit quelque chose. Ils aident aussi Anne, pour que cette dernière devienne une meilleure version d’elle même et qu’elle puisse s’épanouir. Ce n’est pas que la fille adoptive de Matthew et Marilla, mais celle aussi de beaucoup d’autres personnes je trouve. Ce qui fait qu’on finit autant par s’attacher aux autres personnages qu’eux même finissent par s’attacher à Anne.

Anne of Green Gables (ou Anne et la maison aux pignons verts) est une belle lecture, qui nous ramène dans notre enfance, sous fond de paysages canadien. C’est un roman que j’aurais aimé avoir dans les mains plus jeune, un roman qui m’aurait permis de savoir que c’était naturel de lire autant, que je pouvais être une fille et être douée à l’école, et que les filles n’étaient pas forcément toute stupides. Mais que surtout, je pouvais courir derrière mes rêves et que ça en valais la peine. Car Anne vit pleinement ses rêves, et c’est beau.

Et vous mes hiboux, avez-vous lu ce livre ? Qu’en pensez-vous ?

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Animé Lifestyle

Nana, un anime touchant aux milles émotions.

 

Hello mes hiboux ♥

On se retrouve aujourd’hui avec un nouvel article lifestyle, qui parlera pour une fois non d’une série ou des petites choses de la vie, mais d’un anime. Un anime qui m’a profondément émue et touché durant ses 47 épisodes. Un animé, qui malgré les années, malgré les différents visionnages, me fait l’effet d’un coup en plein coeur. Un animé qui me fait rire et pleurer parfois dans un même épisode. Cet animé, c’est Nana.

L’histoire

C’est l’histoire de deux jeunes filles, qui se retrouvent assise à côté dans le train se rendant à Tokyo. Au fil de la discussion, elles découvrent qu’elles ont le même âge (20 ans), mais qu’elles portent aussi le même nom : Nana. La première, Nana Komatsu, monte à Tokyo pour retrouver son petit ami Shouji, alors étudiant en art. La seconde, Nana Osaki, se rend à Tokyo afin de devenir chanteuse professionnelle avec son groupe.

Les deux jeunes filles sont complètement à l’opposé l’une de l’autre, la première étant très animée, très influençable et très amoureuse de l’amour. Elle s’habille de façon toujours mignonne et est souvent comparé à un chien recherchant de l’affection en permanence. La seconde, très indépendante, au style punk et rock, est très mature et ne laisse pas facilement influencer par les autres. Elle sait ce qu’elle veut et sais s’en donner les moyens avec une motivation à toute épreuve.

Malgré leur fortes différences, les deux Nana vont se retrouver quelques jours plus tard lors d’une visite d’appartement et devenir ainsi colocataires. Démarre alors une magnifique histoire et signe le début d’une amitié extraordinaire.

  

Mon avis

Avant d’être un animé, Nana est avant tout un manga. Manga que j’ai découvert fort jeune, quand j’étais encore qu’une petite collégienne. Je n’avais pas compris à l’époque tous les enjeux de son histoire, mais il m’avait profondément touché, de part la profondeur de ses personnages et leur forces. J’ai vu une partie de l’animé une fois au lycée, et ce n’est que très récemment que j’ai pu enfin le voir dans sa globalité ( 47 épisodes de 20 minutes). J’ai alors vu l’histoire avec un oeil nouveau, adulte, ayant pratiquement le même âge que les différents protagonistes.

Malgré un style de vie très différents (je suis encore étudiante alors que nos deux Nana non), je me suis retrouvée un peu dans ces deux femmes. La difficulté de partir de chez ses parents, le début de la vie seule, le travail, les difficultés financières, les difficulté liées à des relations, qui peu importe l’âge, sont toujours là. Et les différents dilemmes et choix que la vie apporte.

Une infidélité, les longues relations, des choix difficiles face à des situations complexes, les relations toxiques, la dépendance affective, les amours éprouvés. Voilà les différents sujets que l’on peut retrouver dans Nana. Car c’est avant tout un shojo (que l’on pourrait définir par une sorte de manga pour fille traitant de l’amour et autre sujets féminins), mais un shojo différent aussi, de par son côté slice of life que l’on retrouve parfois.

Cette amitié extraordinaire entre ces deux femmes m’aura donc complètement retourné, et comme dis plus tôt, j’ai ris comme pleuré devant certains épisodes particulièrement touchant. Les épreuves que vivent ces deux êtres auront donc eu de nombreuses résonances en moi, en me rappelant ce que j’ai pu vivre à certains moment au début de ma vie étudiante ou bien en tant que femme dans mes différentes relations.

De plus, Nana est un animé qui claque avec sa bande son très rock / punk ainsi qu’un style visuel assez fort, très proche de celui des planches du manga. Cela peut du coup parfois donner une esthétique assez étrange aux personnages, qui ressemble alors des êtres humains aux bras et aux jambes immenses (tout en étant extrêmement fin). La mode est aussi extrêmement présente dans cet animé, avec la forte présence de la marque Vivienne Westwood tout au long de l’histoire, cette dernière étant très présente dans le style des différents membres du groupe de Nana. C’est d’ailleurs à cause de cet animé que je rêve d’avoir une bague Vivienne Westood armor, comme Nana dans l’animé.

Je recommande ou pas ?

Bien sur que je recommande. Je vous le recommande même TRES fortement. Pour moi Nana, c’est un animé puissant, riche en émotions, qui ne vous laissera pas insensible. Malgré un style légèrement rebutant au début, j’espère que vous serez aussi touché par son histoire que j’ai pu l’être.

Mon seul reproche à cet animé est le fait qu’il ne soit pas réellement finis. L’auteure n’a jamais publié les derniers tomes de son histoire, ce qui fait que l’histoire se finit un peu en queue de poisson. Mais cela n’est pas très dérangeant au final.

Et vous mes hiboux, l’avez-vous déjà vu ou en avez-vous entendu parler ?
A lundi ! ♥

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In My Mailbox

Bilan Livresque / In My Mailbox – 3em Trimestre 2017

 

Hello mes petits hiboux ! ♥

Et c’est partis pour un nouvel In My Mailbox, pour le troisième semestre de 2017 (pour les retardataires, c’est de Juillet à Septembre ^^). Les vacances d’été sont finis et la reprise scolaire est déjà là. Du moins, pour certaines personnes. Pour moi, c’est aujourd’hui. Et oui !

Mais cela ne m’empêche pas de vous poster aujourd’hui en ce premier lundi d’octobre mes réceptions livresque de ces trois derniers mois, ainsi que mes différents emprunt à la médiathèque. Accrochez vous bien, car le prochain article sera assez chargé, la faute au SWAP incomming avec l’adorable Fleur de Juin :3

Les réceptions

 

 

Anne Of Green Gables, de J.M.Montgommery : Ayant beaucoup aimé la série sur Netflix, je n’ai pu résister à l’envie de découvrir l’oeuvre originelle et de me plonger dans ce roman si cher aux Canadiens. Malgré un début difficile, j’ai beaucoup aimé cette lecture, et j’ai hâte de pouvoir me procurer les autres tomes ! Mon avis ici.

The Handmaid’s Tale, de Margaret Atwood : Titre découvert par la série du même nom mais aussi grâce au Club Lecture de Cassandra derrière le blog Croque Les Mots, j’avais hâte de le lire. Mais suite à une lecture assez trayante d’Anne Of Green Gables, je n’ai pu commencer à le lire qu’en Septembre.

Everything, Everything, de Nicola Yoon : avec la sortie au cinéma du film du même nom, j’ai voulu lire le livre avant d’aller voir le film. Malgré une lecture assez sympathique, je n’ai pas poussé l’expérience jusqu’au cinéma comme j’avais pu le faire pour Nos Etoiles Contraires. Mon avis ici.

His Dark Materials, intégrale trois volumes, de Phillip Pullman : depuis toute petite, j’aime lire et relire les aventures de Lyra, et j’ai toujours secrètement voulu un daemon. J’ai grandis, et la nostalgie étant toujours là, je n’ai pu résister à l’envie de posséder cette magnifique intégrale en version originale.

Summer Days & Summer Nights, twelve love stories, de Stephanie Perkins et collectif d’auteurs : j’avais adoré My True Love Gave To Me, j’étais donc ravie de remettre le couvert avec cette fois l’été comme thème de ces 12 nouvelles. Ce dernier s’étant fait désirer pendant des mois, il arrive à une période ou je me serais plus volontiers plongé dans sa version hivernale. Mais peut-être qu’il se glissera dans ma PAL quand j’aurais besoin de retrouver la chaleur estivale.

The Astral Projection Guidebook : Mastering the Art of Astral Travel, de Erin Pavlina : une lecture très agréable sur le thème de la projection astrale. Pour les plus curieux, on pourrais résumer la projection astrale aux expériences de sorties corporelles, comme pour les expériences de morts imminentes, ou quand les gens voient leur propre corps durant des opérations chirurgicales. Sauf que dans le cas de la projection astrales, ce sont des sorties de corps contrôlées et voulues. Thème très intéressant, je recommande ce petit ouvrage au curieux que la langue anglaise ne rebute pas !

Les Proies, de Thomas Cullinan : après avoir vu la superbe bande annonce du thriller du même nom, je me suis ruée sur ce roman afin de découvrir le livre avant de foncer le voir en salle. Mais n’ayant eu que très peu de temps au moment où ce livre est arrivé entre mes mains, je n’ai toujours pas eu l’opportunité de le finir, malgré la cinquantaine de pages déjà lu.

Les emprunts à la médiathèque

    

L’étrange cas de Juliette M., de Morgan Sheperd : une lecture très intéressante, qui m’a fait vivre toute une gamme d’émotions que j’avais rarement expérimenté durant une lecture. J’ai hâte de pouvoir vous en parler un peu plus durant une chronique !

Mon coeur battant, de Laura Summers : une lecture jeunesse touchante, qui malgré quelques clichés pour moi, fut un agréable moment.

Le secret de l’inventeur, d’Andrea Cremer : une lecture magnifique, qui m’a touché et fait plonger comme rarement dans l’univers steampunk créé par l’auteur. Une merveille possédant une couverture sublime. J’ai hâte de pouvoir mettre la main sur le second tome de cette saga qui s’annonce épatante.

Mes lectures estivales

 

 

Et vous mes hiboux,qu’avez-vous lu cet été ? ♥

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